au temps qui passe...

Publié le par jifi

Si j'étais bien en face d'un téléviseur toute la soirée, ce ne fut pas pour regarder l'équipe de France conforter Domenech à son poste. Oh que non. En fait, pendant ces longues minutes d'inceritudes sur son avenir, celui-ci a été comme un chat de Schrödinger : à la fois maintenu (les Bleux vainqueurs) et viré (les Bleus battus) vu que je n'en savais rien. Et comme j'étais à la campagne, inutile de vous dire que je n'ai pas été dérangé par des vosisins spectateurs enthousiastes.
Tout ça pour dire que j'étais invité chez domrod, mon ami dont c'était l'anniv' mercredi mais que l'on a fêté hier soir. Outre Carole, sa compagne (qui me pardonnera ce mot), il y a avait aussi deux couples d'amis, dont un (Cécilia et Nicolas) que j'ai pu mieux apprécier. La soirée a été allègre, légère, parfumée de la nourriture concoctée avec soin par domrod et des vins et autres alcools goûtés avec ce qu'il fallait de modération.
Je suis donc rentré vers deux heures du matin, repu, en sifflotant The Sidewinder de Lee Morgan.

Publié dans ma vie - mon oeuvre...

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J
Fred > malheureusement, je ne m'y risquerai pas car en fin de compte l'explication du rasoir d'Occam est désormais galvaudée ; je ne compte plus films et séries qui usent et abusent de l'idée en la réduisant à sa plus triviale acception. Quant à moi, j'aime à me souvenir que j'ai découvert l'histoire de l'expérience de Schrödinger en lisant Endymion de Dan Simmons...
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F
Marrant que tu cites l'experience du "chat de Schrödinger" !C'est pas courant ! Et c'est un peu comme les exoplanètes, tout le monde s'en tape. Allez, tu nous fais le coup du "rasoir d'Occam" maintenant ?Même si quasiment personne ne sait de quoi il s'agit, ça me fera sourire ! 
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