til hamingju...

Dernière minute avant la douche : j’entends à la radio que Bobby Fisher, détenu au Japon, a échappé à la justice américaine en obtenant la nationalité islandaise (!), et en y partant.
Je ne sais plus ce qu’on lui reproche, mais il me semble que c’est le genre de truc qui se termine par une piqure, les bras en croix, avec des gens qui matent derrière une vitre... Alors par principe, parce que la peine de mort sucks, parce que c’était un des plus grands (l’est-il toujours ?) joueurs de l’histoire des échecs, je dis tant mieux et til hamingju Bobby !
Cela me rappelle ce très beau film de Steve Zaillian, SEARCHING FOR BOBBY FISHER, dans lequel j’avais, pour la première fois, été émue par la beauté très rétro, de Joan Allen.
C’était il y a douze ans de ça et, depuis, elle s’est encore plus épanouie et on la voit partout (chercher Bourne dans le film de Greengrass et, bientôt, pourrir la vie de Kevin Costner dansTHE UPSIDE OF ANGER).
Bon, c’est pas tout ça, mais j’ai des ablutions à faire moi...