allégorie...
 Allégorie du mouvement social, novembre 2007 Hier, comme je m'en doutais, fut une journée sans : ni attraît particulier, ni cours exaltant, ni rencontre inattendue, ni rendez-vous inmanquable. Elle s'est même conclue comme, hélas, je m'y attendais, par une perte de temps inouïe entre 17h15 et 19h, avec ma participation au Conseil pédagogique de mon lycée. Je ne rentrerai pas ici dans les détails (devoir de réserve oblige), mais ce machin est bien, non seulement une usine à gaz, mais aussi la chambre d'enregistrement sur le mode servitude volontaire cher à la Boétie, des couleuvres que notre ministre veut nous faire avaler en nous les présentant comme des lanternes (ou des vessies, je m'y perds). Seul point positif de la journée : j'ai pu rentrer chez moi faire une sieste d'une heure. Et aujourd'hui ne risque guère d'être plus passionnant, quand bien même il sonne la fin de la semaine et, si j'en crois les charognes autorisées, la fin du mouvement des cheminots. Et pendant ce temps, les étudiants entretiennent une flamêche fragile vouée à l'extinction, hélas. Un dernier conseil : deux sites auxquels donner un peu de votre attention (et oui, c'est du pur buzz amical) : L'antidate et 76 jours ; ensuite, si vous avez accès à la TNT, je vous rappelle que, au même moment (arghh...), en début de soirée NRJ12 diffuse Torchwood tandis que NT1 rediffuse l'excellente Un agent très secret, toutes deux séries aussi amènes à mes yeux l'une que l'autre. Enfin, s'il n'y a qu'un dvd à acheter en ce moment (j'en reparlerai sous peu) c'est bien le SUNSHINE de Danny Boyle que tout amateur de science-fiction se doit de posséder... |