kiss kiss bang bang...
 | De toutes les raisons qui font de KISS KISS BANG BANG un film à ne rater sous aucun prétexte, la performance carygrantesque de Robert Downey Jr. figure en premier sur ma liste, bien avant le scénario frappadingue de Shane Black, loin devant la beauté de Michelle Monaghan, et mieux encore que Val Kilmer en privé gay. Je n’avais pas vu Robert Downey Jr. aussi en forme, aussi à sa place, aussi sympathiquement pathétique, que depuis ces fameux épisodes d’Ally McBeal. Il est, dans ce premier film d’un scénariste à succès produit par Joel Silver, un loser magnifique, le successeur du Dude des frères Cohen. Il faut aussi rester jusqu’au bout du générique final parce que (même si la tradition des surprises final semble définitivement enterrée) on l’y entend chanter. |
| Bien entendu, il ne faut pas raconter l’histoire de KISS KISS BANG BANG, alors je ne le ferai pas. Au contraire, il faut se laisser porter par son narrateur de héros et essayer, comme dans un polar noir, de comprendre l’énigme du film entre deux éclats de rire. Précipitez-vous donc, vous ne le regretterez pas... ps : pour les Auxerrois et ceux des alentours, ne ratez pas, les diffusions de LOCATAIRES de Kim Ki-duk entre le 22 et le 27 septembre au Casino. |