tempora mutantur...
Cela fait aujourd’hui six mois que j’ai commencé ce blog et, alors que depuis des semaines déjà je mijotais une démonstration brillante en forme de bilan autoglorifiant avec une devinette impossible, des liens vers des sites inexistants et des mp3 imbitables (oui, j’escomptais aussi caser l’adverbe imbitable), je réalise ce matin que le coeur n’y est pas. L’envie viendra peut-être demain ou dans les semaines à venir. Il sera alors temps de revoir ma mise en page, ma bannière (?), ma façon de traiter mes invités et celle de délaisser mon travail personnel pour ces facéties virtuelles qui, si elles intéressent en moyenne un peu plus de sept cent personnes par semaine avec un blog rank qui va et vient, n’en demeurent pas moins une distraction pour célibataire désœuvré. L’expérience, néanmoins, mérite de se poursuivre alors je resigne pour encore six mois de ratiocinations en tous genres ! Je vous souhaite un bon samedi, surtout si l’ensoleillement vous est favorable... ps : vous pouvez aller lire le dernier article de Martin Winckler sur son site, c’est édifiant. |