poussière de lune...

Publié le par jeanphi



Jack Schmit, le pilote du module lunaire d'Apollo 17 en train de courir en direction du rover lunaire. Photo prise en 1972 par l'astronaute Eugene Cernan, lors de l'ultime mission sur la Lune...


C'est dans Poussière de lune [Moonseed] (2003) que Stephen Baxter imagine la NASA obligée de monter à l'arrache une mission lunaire en reprenant grosso modo le système des missions Apollo afin de résoudre sur notre satellite déserté depuis 1972 une catastrophe commencée banalement en Ecosse. Ce roman, l'un de mes préférés d'un des mes auteurs préférés, est paru chez J'ai Lu dans la collection Millénaires.

Alors bien sûr, il va s'en dire que j'aimerais assez voir, de mon vivant, une installation permanente sur la Lune parce que j'ai été biberonné à Space : 1999 ; mais aussi parce que, indépendamment de l'ISS qui permettrait d'agencer dans l'espace les futurs vaisseaux d'exploration vers Mars, les futurs voyageurs interplanétaires auraient besoin d'un lieu pour se préparer et s'acclimater à l'espace.
Quant aux hommes sur Mars, j'avoue que j'ai bien peur de rater ça, même avec les progrès de la médecine...



ps : j'ai dû réduire l'image pour la faire tenir dans le cadre, mais s'il y en a qui veulent le format original, qu'ils me le fassent savoir !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
J
Raph > désolé pour ton anniversaire (et encore, c'est la faute de tes parents, hein, pas celle de Gerry et Sylvia Anderson !) mais bon, tes objections vis-à-vis de Space : 1999 sont quelque peu spécieuses : le décor et les costumes s'expliquent aisément (1975-1978) et ont mieux vieilli que ceux de la première série de Star Trek. Les fils tenant les maquettes ? a) je ne les ai jamais vus et b) quand bien même, vu que les Anderson sont aussi les créateurs des Thunderbirds [Les Sentinelles de l'Air], la série qui a poussé les ficelles au rang de personnages ! Se moquer du brushing impeccable de Barbara Bain sans rappeler qu'il était déjà impeccable quand elle jouait dans Mission Impossible, est à la limite de la désinformation. En fait, le seul argument que j'aurais éventuellement reconnu, tout en le démolissant dérechef, aurait été le doublage, la vf avec laquelle nous avons découvert la série. Sais-tu d'où provenais cette étrangeté, cette insoupçonnable sensation d'irréalité dans les scènes de dialogue de la série ? eh bien du fait qu'on nous avait refilé une version québecquoise de la chose ! ! Revois un épisode et tu comprendras qu'il s'agit en fait des prémissses de "Surpris sur prise" option "Temps X" !
Répondre
M
Crois tu que je puisse utiliser cette photos pour une illus, ces images ont elles des restrictions ?!Peux tu me l'envoyer s'il te plait!
Répondre
R
Comme un peu tout le temps, je ne réagirai pas sur la profondeur de ta culture littéraire mon cher Jean Phi. Parce que j'en suis arrivé à un point où je lis autant que mes BEP, c'est dire... donc, je fais pas le poids. <br /> Par conséquent, je me porterai sur Cosmos 1999, point de détail de ton exposé qui cependant me tiens à cœur. . Moment de souvenir d'enfance ce générique, mais c'est qu'elle était terrible cette série, et à plus d’un sens. Tout une équipe d'astronautes humains qui recyclent des pyjamas improbables... c'est Emmaüs au clair de Lune et y’a pas Bruce Willis. Le début de générique qui montre les profils puis grâce à un habile plateau mobile de téléviseur de marque Conforama, fait pivoter Barbara Bain (qui n'a pas du en prendre beaucoup d'ailleurs vu l'état de sa coiffure... enfin c'est l'apesanteur ... ), c’est du grand effet. Mais le plus beau, c'est les effets spéciaux : les vaisseaux qui ressemblent à s'y méprendre à la boite d'oeuf qui est dans mon frigo (d'ailleurs, Pif Gadget conseillait de les fabriquer comme ça... ). et ça vole !! Merci qui, merci le fil qu'on voit une fois sur deux. Et c’est pas des œufs, je confirme. Et tout ces monstres complètement improbables, du bonheur là aussi. Mais bon, tout va bien , ils ont un poing américain laser qui tue tout...et    Barry Morse pour réfléchir. Non, mais le pire est à venir, parce qu'arrivé à ce stade, vous vous dites, mais pourquoi diable Raph nous démolit cette série comme ça ? Eh bien c'est une question temporelle, une question de date, Ils avaient le choix dans la d... non, celle là, je la fais pas. Bref : le 13 septembre 1999, la lune se barre. Eh bien, non, le 13 septembre 1999, j'ai 24 ans moi, on me pique mon anniversaire ! ce jour là, y'en a eu que pour la lune, et moi, et moi, et moi, comme disait Jacques D...Je pensais voir tout ça pour mes 24 ans, et que nenni, ce jour là, le gâteau ressemblait à celui de l'année précédente, et on été pas retourné sur la lune depuis 1972 et le soir, elle était toujours là... les boules. Raph
Répondre